La décision annoncée par les États-Unis, hier, de réduire les opérations conjointes menées par les forces internationales et afghanes soulèvent des questions cruciales sur la pièce maîtresse de la stratégie de sortie de la guerre de 11 ans qui s’est révélée coûteuse en vies et en argent. En réalité, l’ami Obama, l’antéchrist africain, se croyait malin. Mal lui en a pris, à peine élu, il renforçait le dispositif américain en Afghanistan pour vénérer son idole, le président et ex acteur de série B d’Hollywood, Ronald Reagan. Étonnant pour un président.
Le renforcement des troupes américaines en Afghanistan m’avait paru être la première erreur de Barack Obama et, je l’avais écris dans un vieil article il y a 5ans. La formidable ascension de Barack Obama avait chambouler l’échiquier politique américain et mondial. Hélas derrière ce visage d’ange se cachait la pire des racailles.
Les talibans, fabriqués par les Etats-Unis (conf. photo), parce qu’ils combattaient les Russes à l’emporte-pièce n’a pas sécurisé le monde, il l’a plutôt rendu plus dangereux que jamais. Parce que, c’est ça qui est à l’origine des plus grands attentats meurtriers. Ces derniers se sont donc aujourd’hui retournés contre leur ex maître et viennent de lui infliger de lourdes pertes, hormis la focalisation sur l’attentat meurtrier qui a causé la mort de 12 personnes innocentes dont des sud-africains.
L’attaque des talibans à la base aérienne de l’OTAN a causé des pertes s’élevant à plus de 200 millions de dollars. Figurez-vous que, des avions ont été détruits. Qui dit mieux ? Aujourd’hui, pas moins de 51 soldats de la coalition sont morts à cause de leurs frères d’armes… afghans. Mais nos clowns, avec Obama en premier, croient toujours qu’ils ont raison.
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