A
la demande générale, j’ai été sollicité pour faire le décryptage réel
de la valeur de Patrick Lozès, ersatz médiatique vendu aux noirs comme
étant leur leader. Essayons, dans ce post, de faire une
sorte de radioscopie des législatives en démêlant, bien sûr, le bon
grain de l’ivraie. Le chevalier blanc autoproclamé des noirs de France
Patrick Lozès, vient de montrer à la face du monde, ce qu’il vaut: une
salle de classe de tronc commun… Mais, au-delà de la
sur-représentativité de cet homme dans les médias, espèce d’escroquerie,
il devrait désormais raser les murs. Les médias français choisissent et
se servent honteusement de personnages noirs sans envergure pour faire
passer leurs messages iniques contre la communauté. Notre hurluberlu en fait partie. Ambiance.
La balourdise de Patrick Lozès est bien sûr à l’image du personnage qui, finalement, ne représente que lui-même. Ancien
président du Conseil représentatif des associations noires de France
(CRAN), son véritable tremplin politique et association qui revendiquait
en son sein plus de 1000 associations -excusez du peu-, on comprend aujourd’hui que ce n’était qu’un grand bluff. L’homme
qui aime ester en justice tous ses contradicteurs nous fera sans doute
un procès. Mais, dans l’esbroufe de son parcours tarabiscoté, l’homme
est dans une situation ténébreuse avec de forts accents de détresse et
un conflit terrifiant dans sa tête. Faut-il désormais qu’il se cache ou
alors pousser au paroxysme son auto-flagellation perpétuelle malgré la grisaille de ses combats ? Peut-être veut-il mettre en exergue son esprit aventurier ?
S’inventer un destin national
alors qu’on est un “invertébré”, il faut oser. Soit, Patrick Lozès a un
“gros coeur” -comme on dit en Afrique-, c’est à dire foncer tête baissée
sans analyse, soit, d’avoir humer le parfum de l’ivresse médiatique lui
a fait croire qu’il avait franchi un palier. Avec son
échec monumental aux législatives, un petit score de 0,72%, que dis-je,
une humiliation abyssale. Le roi du décoffrage n’a pas réussi dans des
quartiers à forte concentration de populations…noires. Cherchez
l’erreur. C’est vrai néanmoins que le Mouvement des africain-français
(MAF) a plutôt demandé à ses adhérents de voter pour Élisabeth Guigou,
l’ex députée de Bondy en Seine-Saint-Denis (9-3), ce qu’ils ont fait, en
axant leur combat sans l’aval de la direction, pour dire aux électeurs
de ne point prendre un bulletin de Patrick Lozès. Visiblement donc, le
travail des brigades du MAF a porté ses fruits. Quelle ironie ! Patrick
Lozès était pourtant sûr (ou presque), de créer la surprise en
décrochant la timbale. Échec et mat.
Dans la 6e circonscription de
Seine-Saint-Denis (Pantin-Aubervilliers), Patrick Lozès fait un piètre
score avec 163 voix et 0,72% comme indiqué plus haut. Il ne doit plus
avoir son sourire carnassier. Le calimero de la politique française, à
qui est adressé ce requiem, qui l’exhorte à se consacrer désormais à
l’éloge de l’oisiveté. Mais, puisque, il me semble, ses caprices
d’apprenti politique sont financés par on ne sait quel mécène, il faut
dire qu’il ne s’arrêtera jamais. Hier, dans son blog, il dit sa
satisfaction d’avoir fait environ 1% en indiquant que son parti Allez la France est jeune et donne rendez-vous aux électeurs pour les échéances de…2014. Ce mec est incorrigible et n’a pas pitié de lui-même…
Lozès : 163 voix (0,72%)
Inscrits : 49966
Abstentions : 27079 ( 54,19)
Votants : 22887 ( 45,81)
Blancs ou nuls : 357 ( 0,71)
Exprimé : 22530 ( 45,09)
Abstentions : 27079 ( 54,19)
Votants : 22887 ( 45,81)
Blancs ou nuls : 357 ( 0,71)
Exprimé : 22530 ( 45,09)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire