Obaida Hitto
L’armée Arabe Syrienne poursuit sa difficile et noble tâche de purification de la Syrie des résidus terroristes. Et, au moment où la saignée et la fuite se poursuit du côté des terroristes, d’autres viennent à la rescousse pourra-t-on dire, des restants. C’est ainsi qu’un Américain d’origine syrienne, perdu dans la propagande s’est laissé embobiné par des émissaires saoudiens. Aux States, les espèces sonnantes et trébuchantes, il n’y a que ça de vrai.
Obaida Hitto (photo), c’est son nom, venu de Wayne au Texas, s’est donc engagé auprès de l’ASL, la coalition des renégats-terroristes-mercenaires qui veulent renverser le régime du président Bachar Al-Assad qui, lui, est lentement mais sûrement entrain de gagner la guerre, malgré la coalition en face. Le jeune Hitto, 25 ans, ancien joueur de football dans le sport universitaire a mis ses études de droit entre parenthèse, pour aller combattre en Syrie. Un autre américain venu du Michigan, Abdullah Aldahhan, 24 ans, étudiant en médecine de Detroit, avait passé trois semaines dans la province septentrionale de Edlib, toujours pour son djihad comme l’autre clown Hitto mais, il aidait sur le plan médical.
Et dire que, selon les spécialistes, il y aurait près d’une centaine d’Européens candidat au djihad venue de France, du Canada, des Etats-Unis et de Grande Bretagne. Du coup, quand on pense au leader présumé du groupe qui a perpétré un attentat à Sarcelles dans le Val d’Oise (9-5), Jérémie Louis-Sidney, on se dit qu’il aurait été au chaud en Syrie. Oui, à 33 ans, son sort allait été meilleur puisqu’il allait vivre de l’ide qu’apporte la France aux terroristes de son espèce.
Dans la vidéo en dessous, la preuve, aussi, de la livraison d’armes par l’Arabie saoudite aux terroristes. Le jour d’après viendra pour ces gens, des Etats-Unis en France, en passant par l’Angleterre, le Qatar ou l’Arabie saoudite. Ce n’est pas un souhait puisque je suis plus exposé que les dirigeants qui soutiennent ces renégats quand, ceux-ci retourneront leurs armes sur leurs soutiens d’hier…
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