mardi 9 octobre 2012

Libye : Bani Walid assiégée, martyrisée, meurtrie et assassinée par les renégats de Misrata



« Dictateur », « tyran », « despote », « pédophile », « violeur ». Fichtre. Faudrait aujourd’hui nous expliquer, vous, messieurs les vertueux, défenseurs autoproclamés des droits de l’homme, chantres invétérés des guerres humanitaires, dépeceurs du droit international et qui avez trituré honteusement, que dis-je, piaillement la résolution 1973, si elle avait aussi un aliéna stipulant un droit de vie ou de mort sur un chef d’État en fonction ? Vous, ces courageux défonceurs de portes béantes mais surtout croqueurs de diamants devenus comme par enchantement écrivains, et qui savent que Mouammar Kadhafi ne pourra se défendre, à quand un livre sur la décrépitude de la Libye post-Kadhafi ? 
Le bal des vautours et des suceurs du sang libyen se poursuit. Aucune ligne dans les journaux « mainstream » sur ce qui est entrain de se passer en Libye en ce moment, notamment à Bani Walid, ville restée fidèle au frère Guide Mouammar Kadhafi. Ils ont fait de la Libye une poudrière. Ils ont fait du sahel une poudrière. Bientôt, ils nous diront qu’il fallait cette poudrière, forts en parole qu’ils sont, et sans vergogne, pour qu’ils se servent sans discontinuer, pendant que les Libyens se battent entre eux.
Comme l’indique le reportage en dessous, les principaux chef du cartel de Misrata, appuyés par..l’armée, sont entrain de bombarder à l’arme lourde, la ville sans défense de Bani Walid, dans l’indifférence totale de la soi-disant communauté internationale. Nous sommes entrain d’assister à un génocide, pour venger un homme. Et quel homme même ? Souvenez-vous, après la mort à Paris du jeune Omran Ben Chaaban, celui qui revendiquait l’assassinat de Mouammar Kadhafi, nous vous indiquions ceci:
La manière dont les nouvelles autorités libyennes traitent de ce sujet est simplement ahurissant. Alors qu’elles n’avaient jamais pensé diligenter une enquête sur le meurtre du frère Guide Mouammar Kadhafi malgré les promesses, ce clown aura des obsèques princiers. Où le bât blesse, aussi, c’est lorsqu’on apprend que tous les moyens seront mis en œuvre pour retrouver ses… meurtriers. La Libye de Botul et Sarkozy, c’est vraiment l’hôpital qui se fout de la charité !
Ces monstres ont tenu parole.


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