Incroyable mais vrai !
C’est
bien la première fois, depuis que la France existe, que sa diplomatie
est devenue une diplomatie bancale-on le savait avec Nicolas Sarkozy-,
mais plus encore, guerrière avec un ministre fou. Quelle idée encore de
François Hollande ! Il est inconcevable qu’un ministre de la République,
ait un langage aussi martial. Le mollah milliardaire Laurent Fabius,
l’homme du sang contaminé et agrégé ès hémophilie, J.M. Weston aux
pieds, durant sa tournée chez ses amis génocidaires, a osé l’impensable.
C’est
simplement pathétique et nos médias, dans un silence complice ne
reprennent que ses propos sans gêne et sans gêne. Vous me suivez ? C’est
la coalition des sans-gênes. Le premier n’est pas gêné de prononcer ces
mots qui sont un appel au meurtre, et les seconds tels des caisses de
résonance publient ces mots sans dire leur indignation devant des propos
aussi violents. Le pouvoir rend fou. D’ailleurs, accepter de devenir
ministre des Affaires étrangères après avoir été Premier ministre sous
un autre Gouvernement comme le fit Alain Juppé, est ridicule. Il faut
vraiment être grisé par le pouvoir pour s’y prêter.
Pour
le ministre, se justifiant sur son appel au meurtre, il n’avait jamais
entendu de tels témoignages. C’était dans le camp des réfugiés à la
frontière syro-turque. Après avoir pris son bâton de pèlerin pour
déverser son fiel, mentir comme un arracheur de dents, le voici rendu à
l’innommable. Il faut savoir lire entre les lignes. Quand Fabius
dit : «Assad ne mériterait pas d’être sur la Terre», il demande
explicitement l’assassinat de Bachar al-Assad. Il suffit de se focaliser
sur toutes ses déclarations morbides et mortifères de sa tournée
guerrière, pour s’en convaincre.
Les espoirs perdus de Barack Obama, le nègre de maison.
Or,
dans le même temps, le président américain Barack Obama aurait renoncé à
faire assassiner le président syrien Bachar Al-Assad, craignant qu’un
départ brutal ne radicalise ses partisans et embrase la région. Surtout
que, personne ne sait où les sites des armes chimiques du régime Assad
sont cachées, d’où l’intelligence du président syrien. Que ce soit le
général Tlass ou le fugitif et éphémère Premier ministre, n’ont pas été
des secours pour les agresseurs de la Syrie. Alors, des discussions
entre Obama et ses conseillers ont commencé.
Ces discussions secrètes partent
du postulat que les forces de sécurité du Président Bachar al-Assad se
désagrégeraient et que ces sites se retrouveraient vulnérables aux
pillages, et qu’ils ne pourraient pas, non plus être sécurisés ou
détruits, par de simples bombardements aériens, en raison des risques
pour la santé et l’environnement.
Alors,
finalement, le président américain est entrain de constituer une équipe
qui descendra aussitôt en Syrie, une fois que le Régime Assad tombera.
Bien sûr, c’est un scénario concocté par eux et rêvé. Encore faut-il
qu’il se matérialise dans les faits. Et là, c’est une autre paire de
manche. Les choses vont de plus en plus mal pour les terroristes. Nous y
reviendrons dans la journée. Remarquez, aucun média n’en parle. L’heure
est grave, d’où la fébrilité de Laurent Fabius, et la prudence de
Barack Obama.
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