Décalage horaire oblige, entre la
France et les Etats-Unis, nous ne pouvions relater les évènements
américains en pleine nuit, ici, en France. Dans une nouvelle sortie
hasardeuse et surtout qui n’a rien à voir avec la paix, le président
américain Barack Obama a lancé un nouvel avertissement en signe
d’ultimatum à un pays souverain, la Syrie. Cherchant par tous les moyens
la petite bête, la fébrilité et la nervosité du président américain est
un signe d’exaspération, suite à leurs échecs consécutifs à la demande
de départ du président syrien Bachar al-Assad non accepté. De vrais
démocrates ou des dictateurs qui exigent qu’on leur obéissent pas tous
les moyens ? Ambiance.
Dans une conférence de presse
lundi soir à Washington, le président américain, loin de toutes les
règles élémentaires de bienséance et de la diplomatie, a confirmé qu’il
n’a pas exclu l’option d’une offensive militaire sur le régime syrien de
Bachar al-Assad. Ceci, en violation de la charte des Nations unies dont
tous se réclament. Le président américain est tombé bien bas, du côté
des faucons. Et dire qu’il est prix Nobel de la paix le bougre ! Mais,
ce n’est pas une surprise. Dès son entrée en fonction, à la question de
savoir quel était le président américain qui était son symbole, à la
surprise générale, ce prix Nobel de la guerre avait donné une réponse
incroyable. Alors que tout le monde s’attendait à Abraham Lincoln ou
John-Fitzgerald Kennedy (JFK), il avait répondu…Ronald Reagan, l’ancien
président acteur républicain, qui avait tenté d’assassiner déjà, le
frère Guide Mouammar Kadhafi, le 14 avril 1986. La brute a achevé le
travail 25 ans après. Cette réponse était un indicateur de ce que
serait sa gouvernance pour les gens avertis…
Prenant donc hier, la parole à la
Maison Blanche, le président Obama a déclaré que si la Syrie met ses
menaces à exécution sur l’emploi de ses armes chimiques ou biologiques,
les États-Unis donnera suite à celle-ci et lanceront une attaque
d’envergure. Répondant à une question d’un journaliste qui lui demandait
l’attitude que doit avoir l’Amérique face au régime syrien actuel, le
président Obama a déclaré que les Etats-Unis ne toléreront et ne
permettront pas à la Syrie ou tout autre pays (Iran ndrl) à entrer en
possession d’armes de destruction massive :
“Nous avons été très clair face au régime de Bachard al-Assad, mais aussi à d’autres acteurs de la région, de ne pas franchir la ligne rouge parce que, ce que nous constatons, nous commençons à voir tout un tas d’armes chimiques se déplacer ou d’être utilisé”. Poursuivant, “ Cela changerait mon équation. . . . Nous surveillons la situation de très près. Nous avons mis en place une série de plans d’urgence. ““Nous ne pouvons pas avoir une situation dans laquelle des armes chimiques ou biologiques tombent entre les mains de mauvaises personnes».” Nous avons mis en place une série de plans d’urgence. Nous avons communiqué en termes clairs avec tous les acteurs dans la région que c’est une ligne rouge à ne pas franchir pour nous. “
Obama a ajouté aux journalistes
que sa mise en garde ne signifie pas seulement la Syrie, soit, mais que
les Etats-Unis pourraient envisager de manœuvre avec ou contre tout
autre pays qui envisage la guerre chimique. Mystère et boule de gomme.
Le président américain menace, pérore et se double même d’un menteur.
Drôle de découverte a été de l’entendre dire ceci:
“Ceci ne comprend pas seulement la Syrie. Il s’agit aussi de ses alliés dans la région, y compris Israël”
Était-il saoul ?
Ce qui est sûr, faisons le pari, aucun média ne relatera son propos sur
Israël, à moins que ma traduction ne soit approximative.
Barack Obama semble réagir aux
propos du porte-parole du ministère syrien des Affaires étrangères Jihad
Makdissi qui avait déclaré que son pays n’utilisera pas d’armes
chimiques contre les terroristes syriens et les mercenaires étrangers
qui veulent déstabiliser son pays. Mais, il avait préciser que, en cas
d’attaque étrangère, son pays n’hésitera pas à utiliser celles-ci en ces
termes.
«Tous ces types d’armes sont entreposés en lieu sûr et en sécurité, sous la supervision directe des forces armées syriennes et ne seront jamais utilisée, à moins que la Syrie soit exposée à des agressions extérieures”.
Bien sûr, le président Barack
Hussein Obama, le nouvel émir d’Al Qaïda, n’a pas condamné les actes
terroristes sur les civils syriens ou des officiels. C’est donc sans
surprise. Les Syriens ont intérêt à être soudés face à cette horde de
nazis qui veulent sa perte…
2 commentaires:
Toi le concepteur de cette ineptie et qui te crois démocrate, vas te faire voir ailleurs, ce sont des criminels comme toi qui supportent les dictateurs qui assassinent leur peuples
eybridi
Enregistrer un commentaire