Ah,
n’a-t-on pas dit dans les médias “mainstream” que ces clowns, que
dis-je, un clown c’est respectable, avec son nez rouge et ça fait rire
adultes et petits. Laissons donc les clowns, beaucoup plus respectables
que ces terroristes qui sévissent en Syrie, et que cette presse morbide,
dont chaque article est une crème d’imbécillité, de férocité et de
mensonge éhonté. Donc, nos chers terroristes-violeurs-égorgeurs et
félons, qui risquent de ne pas jouir des promesses des gazo-dollars
promis par le petit état terroriste nommé Qatar, propriétaire de l’ex
Paris St-Germain (PSG), devenu Qatar Football Club pour les uns, Al
Qaïda FC pour les autres, qui a encore fait nul, hier, à Ajaccio, sont
nus. Et pourtant, ils nous avaient garanti que ces tueurs à gages
étaient les nouveaux maîtres d’Alep ?
Comment est-ce possible de
contrôler une ville, alors qu’effectivement, on n’est que le maître
d’une ruelle, juste parce que l’armée syrienne n’est pas encore arrivée
sur place ? Pourquoi ces médias ne disent-ils pas que les populations
s’organisent pour chasser ces terroristes de leurs villes à travers tout
le pays ? Ah, l’infidèle ! N’a-t-on pas entendu ça hier à la télévision
hier à l’encontre du président syrien Bachar al-Assad, de la bouche
même de ses soi-disant opposants ? Mais bien sûr, puisque ses ennemis
occidentaux ont décidé de son sort -de vrais démocrates- autoproclamés,
ainsi soit-il ?
Je marcherai, sans aucun doute,
sur l’asphalte d’Alep, le regard altier, la tête haute, mes J.M. Weston
au pied, en pensant au ministre du sang contaminé, peu enclin à
descendre aussi bas que lui. Et lui, du Quai d’Orsay tel un psittacidé
perdant son pelage, déclamera-t-il une fable de la Fontaine ou
récitera-t-il le refrain suranné américain ? Au juste, qu’est-ce qu’un
dictateur, puisque c’est le sobriquet accolé et affublé à Bachar
al-Assad jusqu’à ce que certains appellent sans vergogne à son
assassinat ? Un dictateur n’est-il pas une personne qui a les pleins
pouvoirs, jusqu’à celui d’ordonner la mort des autres ? En violant la
résolution 1973 en Libye, jusqu’à pousser à l’assassinat d’un président
en exercice, ces gens n’ont-ils pas fait preuve de dictature ? Ne
veulent-ils pas rééditer leur exploit en Syrie en soutenant des groupes
armés ? Quand le seul mot d’ordre est le diktat: “Assad doit partir”, de
quoi s’agit-il ? De la dictature. N’est-il pas ?
Ils avaient annoncé urbi et orbi,
le carnage qui allait se dérouler à Alep. A-t-il eu lieu ? Non.
Encerclés, affamés, en manque de munitions, le moral dans les
chaussettes et la tête toujours dans le guidon, ces gens sont-ils prêts à
mourir pour satisfaire la fameuse prime de mille vierges au paradis ?
Les promesses alors du Qatar et de l’Arabie saoudite, ces grandes
démocraties ? “Allah Akbar” crient-t-ils, comme des gens possédés,
des macchabées sortis du tombeau. Si, si, la foi soulève des montagnes
mais, de quelle foi parle-t-on ? Celle de tuer ou celle de mourir ?
Mais, toujours est-il que les choses sont claires. A Alep, il ne reste
plus aux protégés de Paris, Washington, Londres, Berlin, Doha ou Riyad,
que deux solutions: se rendre ou crever. L’armée a averti:
“il est encore temps de vous rendre, c’est votre dernière chance. Toute personne hébergeant des terroristes sera responsable de ce qu’il adviendra”
Le ministre russe des Affaires
étrangères Sergueï Lavrov, a encore réitéré son refus de l’établissement
d’une “no-fly-zone” pour soi-disant des raisons humanitaires, dans une
interview qu’il accordait à la chaîne de télévision Sky News Arabia :
« La communauté internationale doit régler les problèmes des réfugiés syriens par des méthodes éprouvées au lieu de créer de zones d’exclusion aérienne en Syrie »
Sans faire allusion au nain
politique Laurent Fabius, qui patauge telle une mouche dans la bouse,
il a précisé que la Russie condamne la violence de part et d’autre, à
la différence des Occidentaux qui ne condamnent que seul le Gouvernement
syrien. Il a fustigé cette façon de faire. Visiblement, la Chine et la
Russie n’accepteront plus de se faire rouler dans la farine une nouvelle
fois. Ceux qui ont fait du mensonge leur spécialité, ne pourront plus
vraiment sévir en toute impunité. Le temps des cerises est terminé. D’un
côté, leurs protégés semblent être condamnés à commettre
essentiellement des attentats, de l’autre, eux, les instigateurs,
poursuivre leurs oeuvres macabres de désinformation, de falsification et
surtout de terrorisme international. Et dire que notre
président Hollande déclarait, toute honte bue, être à la «recherche
obstinée d’une solution politique en Syrie ». Hélas, sur ce dossier,
lui, c’est Dupont, et Sarkozy c’est Dupond, alliés d’Al Qaïda, dont le
nouvel émir Barack Hussein Obama vient d’ordonner secrètement à sa
branche américaine nommée CIA, d’aider les terroristes syriens. Chut,
ils veulent la paix…Les terroristes ont deux choix : se rendre ou
mourir. Et Fabius ? Il ferait mieux de se suicider.
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