Aiguisé comme une lame, pointu comme une sagaie, virevoltant comme Leo Messi dans un stade de football usant de passements de jambes et tonnant comme son foudre de guerre, François Hollande s’est mué, 7 mois après sa prise de pouvoir, en chef de guerre. Sans surprise, son terrain de chasse est l’Afrique. Mais, pas n’importe quelle Afrique, le désert. Le seul homme qui avait réussi à contenir cette mafia du désert est le frère Guide Mouammar Kadhafi. Hélas, les amis sans vergogne de François Hollande l’ont assassiné sauvagement, montrant qu’entre eux et les animaux il n’y avait pas vraiment de différence. Or, jeune lycéen, notre professeur de philosophie nous disait que la commune mesure entre l’homme et l’animal c’est l’instinct. Ils en sont restés là, statique, car, l’homme contrairement à l’animal a une once de raison…
François Hollande, le désormais troufion du désert, qui a intérêt à être plus rapide qu’un serval, devrait beaucoup s’entraîner pour venir à bout des éléments salafo-terroristes qui sévissent dans le nord du Mali. François Hollande est le seul homme au monde à s’engager…verbalement à dépecer ses futures proies dans leur antre. N’est-il pas ? Pari osé ou enthousiasme béat ? Comment peut-on vouloir conquérir le désert sans véritables chars de sable ? Comment peut-on vouloir assujettir cette immensité sans avoir des drones ? Mystère et boule de gomme.
Tout l’argent du monde, même celui que le virevoltant soldat du désert est allé chercher aux Émirats ne peut vraiment résoudre le problème du désert. Enfin, je crois. « Fallait pas les armer » aurait dit Michel Muller. Tiens donc, où est-il passé après Canal+ ? On se souvient dans les années 1990, comment il nous enchantait avec son « Fallait pas l’inviter ». Passons. Franchement, si Hollande arrive à éradiquer la vermine terroriste d’Afrique, malgré son autisme sur le cas syrien, là, il n’y a pas de doute possible, il sera élu homme de l’année 2013, avec à la clé le prix Nobel de la guerre…au temps pour moi, de la paix. Chiche.
Enfin j’oubliais, le guerrier du désert qui a donné son feu vert, hier, pour une intervention au sol aurait fait semblant. Il compte plus sur ses bombardements qui feront plier semble-t-il, l’ennemi. Ainsi, les soldats du casse-pipe, à savoir les Africains, en chair à canon, avanceront après. Ce qui est sûr, hier comme aujourd’hui, personne n’a déjà gagné une guerre dans les airs. Il ne faut pas seulement chasser les salafo-terroristes des villes, encore faut-il pouvoir les éradiquer dans leurs bases arrières du désert. Leur connaissance du terrain est supérieure à celle de toutes les armées du monde…
Il est né le divin enfant. Lancez des cris de joie, le geyser du désert va tout cartonner !
« Bonne chance mon papa !» doit dire, Thomas Hollande.
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