lundi 21 janvier 2013

Chavez, l’Être Humain: Les vautours salivent en espérant sa mort



Hugo Chavez
Hugo Chavez
Nous habitons la Terre des Hommes. La «Terre des Hommes» 
C’est le nom que l’on avait donné au site de l’exposition universelle de Montréal en 1967 .  On représentait le lieu par un cercle d’Êtres Humains se tenant bras dessus, bras dessous. On s’était inspiré du roman de Saint-Exupéry «Terre des Hommes».
Un roman qui parle de vie, de mort et surtout d’amitié, d’entraide, de bravoure et d’héroïsme. Il aurait peut-être mieux valu dire Terre du genre Humain ou Terre des Humains !
Terre des Hommes, c’est un peu désolant pour celles qui la composent à plus de cinquante pour cent, mais bon… Cette appellation est aussi le reflet d’une certaine réalité.  Le monde, en grande partie, est dominé par les Zommes.
Il y a des Hommes et des Zommes. À voir la marche du monde, il semble que les Hommes véritables sont plutôt rares.
Les vrais Hommes,  c’est-à-dire, ces Êtres Humains qui démontrent par leurs gestes, leurs paroles, leurs regards pénétrants, sincères, francs et déterminés qu’ils ont du cœur.  Des Hommes d’honneur, non pas d’honneurs militaires, mais bien d’honneur Humain.  Peu d’Hommes dans notre malheureux monde rehaussent la dignité humaine.  Hugo Rafael Chávez Frias est l’un d’eux.
Un des plus grands Hommes de notre époque lutte pour la vie.  Cet Homme, véritable, a toute sa vie lutté pour la vie. Non pas la sienne, mais celle de tous.  
Hugo Rafael Chávez Frias a surtout lutté pour la vie des plus démunis. Ceux dont la vie ne tient qu’à un fil. Les laissés-pour-compte qui relèvent le défi quotidien de se trouver un peu de riz ou de farine pour se faire une arépa afin de subsister jusqu’au lendemain.  Ces extrêmement pauvres d’Amérique latine, d’Afrique ou d’ailleurs.
Aujourd’hui, Hugo Chávez lutte pour sa propre vie
Les vautours sont tout autour, espérant sa mort.
Hugo Chavez
Hugo Chavez
Oui, plusieurs souhaitent la mort de ce grand Homme.  Cet Homme qui a buté hors de son Pays tous ceux qui exploitaient impunément son peuple et volait leurs richesses. Cet Homme qui a restauré la dignité de ses concitoyens. Cet Homme qui a permis d’exister à ceux qui n’existaient pas.  Ces gens qui étaient trop pauvres pour être reconnus citoyens.  Ou ces autres qui vivaient dans des régions trop reculées pour faire valoir leurs droits.  Des endroits trop éloignés et isolés pour que les habitants puissent avoir des droits, mais pas suffisamment pour éviter qu’ils se fassent exploiter et piller leurs richesses. 
Le Venezuela, un Pays flottant sur les plus grandes réserves d’or noir de la planète.[1]  Le Venezuela un pays où pourtant, malgré l’exploitation pendant des décennies de cet or noir, il y avait un taux incroyable d’extrême pauvreté. C’était un Pays géré par des Zommes.  Ces êtres cupides dont la soif du gain croît avec le profit.   Ces êtres qui considèrent leurs semblables nés dans des conditions moins « favorables » comme de la chair à exploiter ou à éliminer si ceux-ci entravent leurs entreprises ou, simplement, demandent un partage plus équitable de leurs propres richesses.
Ces vautours qui profitaient de la manne pétrolière vénézuélienne ont été chassés du Venezuela.  Dans tout le Pays, les Vénézuéliens et les Vénézuéliennes ont alors crié :  « ¡ Ahora, el petrolio es venezolano.  Es de nosotros mismo ! » [2]
«Maintenant le pétrole est vénézuélien. C’est à nous-mêmes !»
Mis hors du Pays, non seulement les vautours pétroliers, mais tous ceux qui utilisaient les citoyens vénézuéliens pour réaliser des profits sans partage.  Cimenteries [3], sidérurgies [4],  mines d’or [5], etc.
Et ces vautours financiers remerciés de leurs services (sic) ! [6]
Hugo Chávez a mis au pas tous ces vautours qui sévissaient sans contrainte aucune. Il faut l’entendre ici : 

Nul autre que lui ne peut aussi bien résumer, en quelques mots bien choisis et bien sentis, toute la situation.Voilà en bonne partie qui sont ces vautours qui salivent en rêvant depuis des années à sa disparition. 
Il y a aussi les larbins [7] qui, par conditionnement, souhaitent sa mort.  Ces sous-fifres prêts à renier leur propre mère pour servir leurs maîtres.   
Comme ces journalistes propagandistes qui se donnent pour mission de faire valoir l’idéologie d’exploitation néolibérale.   
Tous ces grands groupes de Presse de masse au service de l’idéologie de l’exploitation des démunis pour maintenir la croissance infini. Radio-Canada le nomme le « despote », les grands médias français lui attribuent régulièrement le titre de « dictateur » ou de « tyran » !
Ces journalistes (sic) qui ne semblent ne plus avoir de sentiments humains font partie de ces groupes de vautours salivant à l’idée de voir enfin le dernier souffle de Chávez.  Leur Une est sans doute déjà prête.  On les sent entrevoir la possibilité du retour de l’exploitation d’antan avec une satisfaction frénétique.  Une satisfaction que l’on pourrait qualifier d’immorale et même d’indécente. Comme cette satisfaction indécente qu’ils nous ont démontrée lorsqu’ils publiaient avec satisfaction les photos du corps sans vie et ensanglanté du guide libyen et de son fils lâchement assassiné.  Immoral et indécent. 
Heureusement, notre monde ne se compose pas uniquement de ces vautours.  Des millions de personnes prient quotidiennement pour que ce personnage unique tant aimé et tant apprécié qu’est Hugo Rafael Chávez Frias récupère et nous revienne encore plus vigoureux que jamais. 
Nous connaissons tous les dangers sournois du cancer.  Au Canada, nous avons vécu le départ soudain d’un autre Homme politique de cœur,  le bon Jack Layton [8].  Jack avait récupéré.  Jack semblait avoir vaincu ce mal vicieux, mais le cancer, comme ces vautours toujours à travailler pour parvenir à leurs fins, est revenu et l’a terrassé. 
Hugo Chávez lutte contre un ennemi sournois, le cancer.  Hugo Chávez a lutté toute sa vie contre des ennemis sournois.  Il est un des Hommes ayant les meilleures qualités et la meilleure expérience pour parvenir à vaincre ces ennemis déloyaux.  Mais le cancer…Hugo Chávez semble vaincre le cancer. 
 Une sorte de miracle.  Comme si l’amour que ces millions de gens à travers le monde lui apportent lui donnait l’énergie nécessaire pour vaincre cette terrible maladie.  
Mais quelque soit l’issu de ce grand combat, Hugo Chávez ne mourra jamais.   Chávez est immortel.« Todos somos Chávez »

chav
 Yo soy Chávez !

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