Depuis la fin du sommet extraordinaire de la Cédéao tenue à Abidjan le 19 janvier dernier, les Etas membres de cette institution sous régionale cherchent à mobiliser 250 milliards de FCFA.
Le président de la Commission de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), Désiré Kadré Ouédraogo, a affirmé que l’intervention militaire au Mali nécessite un financement estimé à 500 millions de dollars. Un chiffre pouvant varier en fonction des nécessités.Jusque-là, les besoins pour les opérations de la mission internationale de soutien au Mali étaient évalués entre 98 milliards CFA et 131 milliards CFA. Une conférence des donateurs est prévue le 29 janvier à Addis Abéba, sous l’égide de l’Union Africaine, pour accélérer la mobilisation des financements.
Pour l’heure, les intentions tombent à compte gouttes. Ainsi, L’Union Européenne annonce un financement de près de 33 milliards CFA. L’Allemagne s’engage sur un montant non précisé, selon son ministre des Affaires étrangères, Guido Westerwelle.
«Lors de la conférence des donateurs à Addis-Abeba à la fin du mois, en marge du sommet de l’Union Africaine, l'Allemagne prendra ses responsabilités», écrit le ministre, dans une tribune publiée dans le journal dominical Bild am Sonntag.
L'Allemagne a dépêché deux avions de transport de type Transall en soutien logistique à la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO). Elle a également annoncé l'envoi d'une aide humanitaire d'un million d'euros aux réfugiés dans les pays voisins du Mali et de personnes pour former les troupes africaines, apprend-on.
Soixante soldats sénégalais sont arrivés, le 20 janvier, à l'aéroport international de Bamako, en vue de participer à la force africaine déployée au Mali pour combattre les groupes terroristes qui occupent le nord du pays, ont rapporté des médias. Il s'agit d'un détachement d'éléments précurseurs des 500 soldats sénégalais devant intégrer la Mission internationale de soutien au Mali sous conduite africaine (MISMA), qui comprendra à terme quelque 5.800 soldats appelés à prendre le relais des troupes françaises. Huit pays ouest-africains (Nigeria, Togo, Bénin, Sénégal, Niger, Guinée, Ghana et Burkina Faso) ainsi que le Tchad ont annoncé leur contribution à la MISMA, dont le déploiement a été approuvé le 20 décembre par le Conseil de sécurité des Nations unies. La France, qui intervient au Mali depuis le 11 janvier, a déjà déployé 1.400 hommes, un chiffre qui devrait rapidement atteindre 2.500 soldats.. Cent trente soldats togolais, nigérians et béninois sont déjà à Bamako.
En tout, Quelque 2.000 membres de la MISMA devaient être déployés d'ici le 26 janvier. Cependant, aux dernières nouvelles, la CEDEAO annonce ne pas pouvoir tenir les délais de déploiement des troupes à cette date. Ce qui revient à dire que la réunion des donateurs du 29 prochain à Addis serait le point culminant du point de départ de l’opérationnalisation du déploiement effectif des troupes de la MISMA qui seront complétées par les bataillons du Rwanda et du Burundi dont les dirigeants ont annoncé la participation de leur troupes dans le cadre de la MISMA .
Pour l’heure, les intentions tombent à compte gouttes. Ainsi, L’Union Européenne annonce un financement de près de 33 milliards CFA. L’Allemagne s’engage sur un montant non précisé, selon son ministre des Affaires étrangères, Guido Westerwelle.
«Lors de la conférence des donateurs à Addis-Abeba à la fin du mois, en marge du sommet de l’Union Africaine, l'Allemagne prendra ses responsabilités», écrit le ministre, dans une tribune publiée dans le journal dominical Bild am Sonntag.
L'Allemagne a dépêché deux avions de transport de type Transall en soutien logistique à la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO). Elle a également annoncé l'envoi d'une aide humanitaire d'un million d'euros aux réfugiés dans les pays voisins du Mali et de personnes pour former les troupes africaines, apprend-on.
Soixante soldats sénégalais sont arrivés, le 20 janvier, à l'aéroport international de Bamako, en vue de participer à la force africaine déployée au Mali pour combattre les groupes terroristes qui occupent le nord du pays, ont rapporté des médias. Il s'agit d'un détachement d'éléments précurseurs des 500 soldats sénégalais devant intégrer la Mission internationale de soutien au Mali sous conduite africaine (MISMA), qui comprendra à terme quelque 5.800 soldats appelés à prendre le relais des troupes françaises. Huit pays ouest-africains (Nigeria, Togo, Bénin, Sénégal, Niger, Guinée, Ghana et Burkina Faso) ainsi que le Tchad ont annoncé leur contribution à la MISMA, dont le déploiement a été approuvé le 20 décembre par le Conseil de sécurité des Nations unies. La France, qui intervient au Mali depuis le 11 janvier, a déjà déployé 1.400 hommes, un chiffre qui devrait rapidement atteindre 2.500 soldats.. Cent trente soldats togolais, nigérians et béninois sont déjà à Bamako.
En tout, Quelque 2.000 membres de la MISMA devaient être déployés d'ici le 26 janvier. Cependant, aux dernières nouvelles, la CEDEAO annonce ne pas pouvoir tenir les délais de déploiement des troupes à cette date. Ce qui revient à dire que la réunion des donateurs du 29 prochain à Addis serait le point culminant du point de départ de l’opérationnalisation du déploiement effectif des troupes de la MISMA qui seront complétées par les bataillons du Rwanda et du Burundi dont les dirigeants ont annoncé la participation de leur troupes dans le cadre de la MISMA .
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