ALEP - Les choses se passent de
plus en plus mal pour les terroristes syriens à Alep. Après l’offensive
tous azimuts de la force légitime, avec des hélicoptères et
l’artillerie lourde de l’armée syrienne – on ne transige pas avec des
terroristes, il faut le faire à la tchétchène ou comme Barack Obama-,
le bombardement des positions rebelles met en émoi la soi disant
opposition…politique, le Conseil national syrien (CNS). Le
CNS donc, principale instance politique de l’opposition, a réclamé des
armes lourdes à la communauté internationale afin de “se défendre contre
la machine à tuer” du régime de Damas. Apparemment, ces gens sont des
saints, qui ne tuent personne. Passons. Et là, c’est de son exil doré du
Maroc, que Nicolas Sarkozy qui doit répondre de ses forfaitures devant
la justice française, vient à la rescousse des terroristes syriens.
Souvenez-vous, nous vous parlions
des terroristes syriens qui avaient traité le président français
François Hollande d’ivrogne, parce que, disaient-ils, si ça avait été
Sarkozy, il allait leur fournir des armes. On connaît les exploits de
l’ex président français dans les montagnes du Djebel Nefoussa, en
violation de la résolution onusienne 1973. Du haut de ses talonnettes,
le Hongrois volant, mari de l’Italienne à mecs, Carla Bruni, demande à
son remplaçant, que dis-je, son tombeur à l’Elysée, d’être plus ferme
avec Bachar Al-Assad. Demande expresse de fournir des armes aux
terroristes, avec l’argent de nos impôts. On comprend aisément pourquoi Le
CNS a par ailleurs annoncé des discussions dans les prochaines semaines
sur la constitution d’un gouvernement de transition qui pourrait
compter des membres de l’équipe actuelle d’Assad, selon son nouveau
président, le fanfaron Abdelbasset Sida. Ce n’est pas une blague, c’est
son vra nom. Il a déclaré: ”ceux qui n’ont pas de sang sur les mains et
qui ne sont pas corrompus pourront entrer dans ce gouvernement”.
Alors qu’un vaisseau chinois est
entré en Méditerrannée, faisant route vers les côtes syriennes, les
choses ne tournent plus vraiment rond pour les terroristes de l’OTAN. A
Téhéran, lors d’une rencontre bilatérale entre Walid al Moualem,
ministre syrien des Affaires étrangères, et son homologue iranien
Ali Akbar Salehi, l’Iran a raillé ce fameux CNS et la soi-disant
communauté internationale en estimant qu’une transition politique
planifiée en Syrie n’était qu’”une illusion”.
Quant aux nouvelles du front, à 20h30, heure de Paris, nous pouvons vous confirmer que de nombreux rebelles ont fui Alep, et que le quartier de Salaheddine est repris à 90%. Un succès probant mais encore partiel, est donc entrain de se dessiner sur le terrain et, malgré les jérémiades du petit Nicolas depuis sa villégiature princière, chez notre ami le roi très démocrate Mohammed VI, les heures de ses amis terroristes sont comptées à Alep.“Penser naïvement et faussement qu’en cas de vide du pouvoir en Syrie (…) un autre gouvernement pourrait arriver au pouvoir, je crois que ce n’est qu’un rêve.”
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