C’est un rituel inextricable,
chaque candidat à la Maison blanche est obligé de passer par Israël
sinon, l’accusation suprême que vous connaissez tous, fusera. Le
candidat républicain à la présidentielle américaine, Mitt Romney, y est
depuis samedi, pour parler du nucléaire…..iranien. Ce passage obligé est
assez particulier. En effet, il n’est pas étonnant qu’un candidat
américain à la présidence, se plie ainsi à un protocole abscons, alors
qu’Israël est une voiture sans essence si les Etats-Unis ne mettent pas
la main à la poche. Les subventions que versent l’administration
américaine à ce pays se passe de commentaire depuis l’avènement d’Obama,
qui, pourtant, est brocardé par une certaine presse israélienne
n’hésitant pas à l’accuser d’antisémitisme.
Dès 2013, le montant
annuel d’aide à Israël va sensiblement augmenter pour culminer à 3,1
milliards de dollars/an, sans compter l’aide militaire qui s’est élevée
en 2010 à près de 205 millions de dollars, pour la mise sur pied de 9
batteries de défense anti-missile. Et pourtant, en retour, les
Etats-Unis ne perçoivent rien d’Israël, à part des insultes. Une
arrogance et une condescendance qui ne s’expliquent vraiment pas. Il
suffit que les Etats-Unis coupent le tuyau, et vlan ! Israël survivra
désormais. Tel n’est pas mon souhait, sachant que c’est un peu mon pays.
Les inquiétudes israéliennes sur le supposé nucléaire iranien qui
aboutirai sur l’arme nucléaire est un leurre.
A force d’asséner des
contrevérités, elle deviennent des vérités. C’est connu. Pourquoi
personne ne croit que l’Iran veut simplement développer son pays avec le
nucléaire pour l’électricité ou encore la médécine ? Finalement,
certains ont tellement de mauvaises intentions, si bien qu’ils les
prêtent frauduleusement aux autres en entrant par effraction dans leur
tête. Mais, de leurs glaives qu’ils brandissent à tout bout de champ,
auront-ils la force de forger des hoyaux ? C’est moins sûr. Il est grand
temps de passer de l’angoisse à l’espoir. Comme le disait le chanteur
britannique Sting (vidéo avec traduction des paroles)dans sa chanson
“Russians”, les menaces ne sont que des leurres parce que, les Russes
aiment leurs enfants et par conséquent, ils n’useront jamais de la bombe
contre l’Occident et vice versa. Donc, les Iraniens aiment aussi leurs
enfants. S’il arrive même qu’ils fabriquent une ou des armes nucléaires,
c’est beaucoup plus pour se protéger des belliqueux comme les
Etats-Unis et leurs alliés-leur pedegree parle pour eux-, et non
d’attaquer un quelconque pays. Refuser de le comprendre, c’est faire
preuve d’une mauvaise foi abyssale.
Devant le Premier ministre
israélien Benjamin Netanyahu, Mitt Romney a estimé que tout devait être
fait pour empêcher l’Iran de développer l’arme nucléaire. Petit
tracks-backs des déclarations fracassantes du mormon:
“Comme vous, nous sommes très inquiets du développement des capacités nucléaires de l’Iran, et nous considérons comme inacceptable que l’Iran devienne une nation dotée de l’arme nucléaire”“Si Israël doit mener une action seul afin que l’Iran arrête de développer cette capacité , le gouverneur respecterait cette décision”, a expliqué un conseiller de M. Romney, Dan Senor, à la presse.“Nous ne pouvons rester silencieux alors que ceux qui cherchent à saper Israël expriment leurs critiques. Et nous ne devrions certainement pas nous joindre à ces critiques. La prise de distance diplomatique en public entre nos nations encourage les adversaires d’Israël”“Nous devrions employer toutes les mesures quelles qu’elles soient pour détourner le régime iranien de sa course nucléaire, et nous espérons ardemment que les mesures diplomatiques et économiques y parviendront. Au bout du compte, bien entendu, aucune mesure ne devrait être exclue. Nous reconnaissons le droit d’Israël à se défendre lui-même et il est bon pour l’Amérique d’être à vos côtés”
Sting – Russians
In Europe and America
En Europe et Amérique
There’s a growing feeling of hysteria
Il y a un sentiment croissant d’hystérie
Conditioned to respond to all the threats
Conditionné pour répondre à toutes les menaces
In the rhetorical speeches of the Soviets
Dans les discours rhétoriques des Soviétiques
En Europe et Amérique
There’s a growing feeling of hysteria
Il y a un sentiment croissant d’hystérie
Conditioned to respond to all the threats
Conditionné pour répondre à toutes les menaces
In the rhetorical speeches of the Soviets
Dans les discours rhétoriques des Soviétiques
Mister Krushchev said, We will bury you
Monsieur Krushchev a dit, nous vous enterrerons
I don’t subscribe to his point of view
Je ne souscris pas à son point de vue
It’d be such an ignorant thing to do
Ce serait une chose si ignorante à faire
If the Russians love their children too
Si les Russes aiment leurs enfants aussi
Monsieur Krushchev a dit, nous vous enterrerons
I don’t subscribe to his point of view
Je ne souscris pas à son point de vue
It’d be such an ignorant thing to do
Ce serait une chose si ignorante à faire
If the Russians love their children too
Si les Russes aiment leurs enfants aussi
How can I save my little boy
Comment est-ce que je peux sauver mon petit garçon
From Oppenheimer’s deadly toy ?
Du jouet mortel d’Oppenheimer ?
There is no monopoly of common sense
Il n’y a aucun monopole de bon sens
On either side of the political fence
De chaque côté de la barrière politique
Comment est-ce que je peux sauver mon petit garçon
From Oppenheimer’s deadly toy ?
Du jouet mortel d’Oppenheimer ?
There is no monopoly of common sense
Il n’y a aucun monopole de bon sens
On either side of the political fence
De chaque côté de la barrière politique
We share the same biology
Nous partageons la même biologie
Regardless of ideology
Indépendamment de l’idéologie
Believe me when I say to you
Croyez moi quand je vous dis
I hope the Russians love their children too
J’espère que les russes aiment leurs enfants aussi
Nous partageons la même biologie
Regardless of ideology
Indépendamment de l’idéologie
Believe me when I say to you
Croyez moi quand je vous dis
I hope the Russians love their children too
J’espère que les russes aiment leurs enfants aussi
There is no historical precedent
Il n’y a aucun précédent historique
To put the words in the mouth of the president ?
Pour mettre les mots dans la bouche du président ?
There’s no such thing as a winnable war,
Il n’y a aucune telle chose comme une guerre gagnable,
It’s a lie we don’t believe anymore
C’est un mensonge que nous ne croirons plus
Il n’y a aucun précédent historique
To put the words in the mouth of the president ?
Pour mettre les mots dans la bouche du président ?
There’s no such thing as a winnable war,
Il n’y a aucune telle chose comme une guerre gagnable,
It’s a lie we don’t believe anymore
C’est un mensonge que nous ne croirons plus
Mister Reagan says, we will protect you
Monsieur Reagan dit, Nous vous protégerons
I don’t subscribe to his point of view
Je n’adhère pas à son point de vue
Believe me when I say to you
Croyez-moi quand je vous dis
I hope the Russians love their children too
J’espère que les russes aiment leurs enfants aussi
Monsieur Reagan dit, Nous vous protégerons
I don’t subscribe to his point of view
Je n’adhère pas à son point de vue
Believe me when I say to you
Croyez-moi quand je vous dis
I hope the Russians love their children too
J’espère que les russes aiment leurs enfants aussi
We share the same biology
Nous partageons la même biologie
Regardless of ideology
Indépendamment de l’idéologie
What might save us, me and you,
Ce qui pourrait nous sauver, moi et vous,
Is if the Russians love their children too
Est si les Russes aiment leurs enfants aussi
Nous partageons la même biologie
Regardless of ideology
Indépendamment de l’idéologie
What might save us, me and you,
Ce qui pourrait nous sauver, moi et vous,
Is if the Russians love their children too
Est si les Russes aiment leurs enfants aussi
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