C’est la consternation du côté occidental après la découverte que, depuis 21 mois, malgré la propagande et le trafic d’arme profitant eux terroristes, le président Bachar al-Assad tient toujours. Ce n’est un secret pour personne, ce sont des conseillers militaires russes, qui ont mis sur pied des dispositifs de défense anti-aérienne très sophistiqués. Du coup, on assiste à une sorte de poker menteur côté occidental, notamment aux États-Unis, où la future-probable-hypothétique intervention, ne relève finalement que d’incantations.
Selon la CIA, Moscou a fourni au régime d’Assad depuis le début de la soit révolution syrienne, il y a 21 mois, un système de défense implacable. Les anciens systèmes de défense syrienne ont été rénovés et, de nouvelles, des missiles de défense sol-air que le régime de Damas n’a pas encore utilisé, pour l’instant, sont en possession de l’armée arabe syrienne.
Washington aurait donc renoncé à intervenir, craignant que des frappes aériennes soient non seulement vouées à l’échec, mais que des avions de la coalition soient détruits. La tentative de dire aujourd’hui que l’armée syrienne utilise un gaz jamais utilisé en combat c’est se moquer du monde. Les scientifiques syriens sont donc les meilleurs, après avoir créé ce gaz…inodore. Quelle ironie ! Et voilà le retour de l’OSDH dont le directeur déclare : »un gaz qui se dégage sous forme de fumée blanche dès que les grenades heurtent un mur ». ajoutant »Il pourrait s’agir d’un gaz jamais utilisé jusqu’ici, provoquant des vertiges, de graves maux de tête ainsi que chez certains des crises d’épilepsie »
En réalité, la profondeur et la complexité de la Syrie feraient que, toute tentative d’attaque anti-syrienne, à l’appui d’une zone d’exclusion aérienne ou sous la forme de frappes aériennes punitives à l’encontre du régime serait coûteuse, longue et surtout risquée, à mins qu’ils, les Occidentaux, n’assassinent Bachar al-Assad. La CIA affirme que la possibilité de pertes militaires russes, d’autant qu’ils sont installés à Tartous, pourrait avoir des conséquences imprévisibles sur le plan géopolitique.
La Russie est redoutée, d’où une tentative de réveiller ses extrémistes pour déstabiliser Vladimir Poutine, ou de s’appuyer sur des clowns comme les dégénérées du groupe Pussy Riot…
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