En 1994, Omar Raddad est condamné à 18 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Ghislaine Marchal. Comme avec le fameux « Omar m’a tuer », un faux grossier, la faute de grammaire à la clé, le Mme Marchal nouveau est arrivé. Mais, ce n’est pas une femme, c’est bel et bien un homme. Le « meurtrier » présumé n’est pas Omar Raddad, mais Nicolas Sarkozy. Doc Gynéco s’est confié au journal Le Parisien, longuement, pour parler de son mal être, et surtout de ses faiblesses car, dit-il, il laisse choir, ne pouvant plus se….battre…
Ces quelques mots du Parisien qui l’a interviewé:
Son ralliement auprès de Nicolas Sarkozy en 2007 , Bruno Beausir, alias Doc Gynéco, reconnaît y avoir « laissé des plumes ». Cinq ans après son « engagement politique », le Doc a disparu des plateaux télés et des studios. Pourtant, le rappeur français n’est pas mort. Il réfléchit. L’inspiration, elle, est toujours là. Rendez-vous est donné dans un hôtel parisien pour une longue interview vérité, où le chanteur se livre devant notre caméra, bien loin de l’image du type fumeur de pétards, lunaire et apathique. Son retour en tant qu’artiste, il y croit. Il prépare d’ailleurs un nouvel album et une tournée à travers toute la France.
La question est de savoir s’il pourra vraiment rebondir tant, les banlieusards qu’il a insulté, sont surtout de bons consommateurs du…bon rap. Ah, il avait dit qu’il n’est pas rappeur mais de la famille de la variété française. Il s’est tellement renié qu’il est obligé, lui Doc Gynéco, d’être…locataire. C’est invraisemblable avec tout l’argent qu’il a eu. Son premier album s’était vendu à près d’un million d’exemplaires.
Qui disait « Comme Beregovoy, aussi vite que Senna, je veux atteindre le nirvana [...] » ?
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