mercredi 17 avril 2013

VENEZUELA. Présidentielle: Les Etats-Unis (encore) derrière les violences post-électorales



Les nervis d'Henrique Capriles Radonski Les nervis d’Henrique Capriles Radonski
CARACAS, Venezuela – Toute honte bue, sans précaution langagière, avec le mépris qui avec, alors même que Jimmy Carter, l’ancien président américain atteste que le système électoral vénézuelien est le meilleur au monde, Barack Obama et ses fous, contestent la victoire de Nicolas Maduro. Ce sont eux qui envoient tous les néo-nazis et nervis qu’on a vu dans les rues de Caracas, encagoulés, et munis d’armes.
C’est ainsi que les Etats-Unis ont déclaré qu’ils ne tiendront pas compte des résultats des élections, à moins que le vote par recomptage des voix demandé par le candidat de l’opposition, Henrique Capriles Radonski, soit fait. C’est ainsi qu’ils veulent créer le chaos au Venezuela, parce que c’est la tête de pont de l’Amérique latine, avec les plusgrandes réserves de pétrole du monde. Le président élu, Nicolas Maduro a accusé à juste titre les Etats-Unis d’incitation à la violence, celles qui se sont produites à la suite des élections contestées par leur poulain.
Maduro a aussi accusé l’ambassade américaine de  » financer les actes de violences des néo-nazis ». Le gouvernement a fourni les noms de certaines personnes tuées par des militants de l’opposition. D’ailleurs, il n’y a eu que des chavistes tués. Cherchez l’erreur…

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