Le match de la France à fric au Mali
par Le Sphinx
LIBRAIRIE TAMERY
19 rue du Chalet 75010 Paris
M° Belleville
Tarif : 5 euros (chômeurs : 3 €)
Places limitées, réservation : himrevelation@yahoo.fr ou 07 58 05 52 08
SAMEDI 6 JUILLET 2013 de 18 à 20 heures
CONFÉRENCE SPECTACLE
Ludique Éducatif
Avec, pour un KO tragique, un président français timbré. Et, suivant l’ordre « t’as mis tes rang ? », et avec une presse auto enchaînée, Radio Mali Complice, et un média part pas tenace, l’Association Ouvertement Krapuleuse qui oeuvra avec zèle pour cette France Afrique OK. Celle qui garde Bamako en 2013 pour un de ces arrivistes de l’AOK….
LA CONFERENCE (ludique) SPECTACLE (éducatif)
De nos jours, l’information est devenue un spectacle dans lequel le « show » ou la forme a prit plus d’importance que le fond. Les gens payent pour des « one man shows », dans lesquels et par de l’humour, ils se voient raconter des histoires de voisinages. Alors pourquoi ne paieraient-ils pas pour un savoir. A l’instar de l’université populaire, la conférence spectacle diffuse un savoir qui est un besoin, et qui doit donc proposer, surtout en temps de crise, un prix abordable. Quand le loisir est un luxe tarifé, la connaissance, normalement fondement de toute société qui se respecte, ne peut pas être au dessus du niveau de vie.
Dans cette volonté de populariser le « savoir informatif », il a été lancé au Sénégal une émission d’information, qui rencontre un grand succès auprès de la population, et dans laquelle des artistes « rappent » pour présenter les sujets. Ce concept de Mc conférence ne veut pas que présenter des informations, mais des sujets d’investigations sensibles.
En conservant son cadre scientifique et éducatif, la Mc conférence est faite sous forme de « one man show », et, à la différence des humoristes, la recherche d’information prime sur le rire. Comme quand des professeurs rendaient leurs cours plus accessibles par le ton qu’ils utilisaient.
C’est la culture multimédia de l’écrit et de la parole réunis. Quand la technique du maître de cérémonie rencontre le chercheur, c’est un auteur qui se met en scène pour la transmission orale d’une histoire chronologique et dialectique.
La thématique porte sur l’importance géopolitique du Mali du temps des indépendances africaines des années 60 ? Les personnes d’origine malienne sont parmi les plus nombreuses de la communauté française, et s’elles ne sont pas directement issus de ce pays, leur patronyme y est historiquement lié (Diarra, Keïta, Traoré, Maïga, Cissé, Fofana, Diallo, Bâ, Diaby, Sissoko, Koné pour les plus connus, mais cela ne surprendra pas les amateurs de football). Pourtant, beaucoup ignorent le parcours politique du Mali depuis qu’il obtint son indépendance en 1960. Alors à plus forte raison les autres Africains. Le Mali est un pays particulier, car avec sa position géographique, il est un dénominateur commun pour les peuples d’Afrique de l’Ouest.
La conférence spectacle offre une analyse sociologique politique et culturelle, les croissements de cette interdisciplinarité rendant la conférence ludique. Par une méthode dialectique et chronologique partant de la fin de la seconde guerre mondiale, la conférence montre le rôle de la diplomatie française, et le génocide culturel que subit le Mali. Le fait que la France soit partie prenante dans le non développement culturel du Mali depuis le début de sa colonisation soudanaise est un fait voulu, comme va-le montrer la surveillance auquel il fut soumis.
Si de nos jours vous dites à des jeunes africains qu’il fut un temps ou leurs pays luttait à corps perdu contre la corruption, ils ne vont pas vous croire et vous prendre pour un utopiste, et pourtant le temps des indépendances où il n’y avait pas de corruption au plus haut niveau de l’état à bien exister et la première République du Mali fut sont plus beau fleurons.
Cette conférence spectacle est basée sur l’opposition entre Modibo Keïta et AOK, dont l’animosité pour Modibo se retrouve tout au long de sa carrière politique. Même après l’assassinant du premier président, AOK continuera son jeu morbide contre la mémoire de Modibo Keïta, laissant ainsi de nombreuses traces.
PRESENTATION DES PROTAGONISTES
MODIBO KEÏTA : Le premier président de la république du Mali, Modibo Keïta, est une personnalité volontairement sous-médiatisée de la culture panafricaine. Comment l’oeuvre et le nom de Modibo Keïta furent-ils niés ? Il y eut un acharnement de la France contre l’homme, puis contre sa mémoire. Pourquoi alors que le Mali est abordé dans les médias, Modibo Keïta reste t-il si méconnu ? La conférence spectacle permet de visualiser la réal politik de la France en Afrique depuis les années 50, jusqu’à nos jours. Les manipulations politiques et culturelles dénoncées par Modibo Keïta dès les années 60 étant toujours d’actualité dans la crise malienne de 2013. Modibo fut combattu pour la jeunesse, la culture et la politique, AOK sera son concurrent. La monnaie amènera une réponse économique.
ALPHA OUMAR KONARE : AOK est un personnage curieux et intéressant, avec une destiné passionnante pour une investigation. C’est un professionnel de la communication qui peut faire penser à F. Mitterrand dans une certaine mesure. Il détient un sens de la
communication inégalé dont il se servira pour
cacher ses activités culturelles derrière des
activités politiques.
Un beau champion AOK, le roi de l’esquive,
mais quelle tactique dans le putsch,
démocratique… Il fut le poulain de la diplomatie
française en Afrique. Ce combat retrace son
parcours depuis les indépendances de 1960, dans
les dictatures sanguinaires des années 70, et dans
l’après Foccard, dans l’ouverture aux médias de
la décennie 80, et dans la soi-disant libération des années 90 avec la chute du bloc de l’Est. Présent dans toutes les dates (tragique) de l’histoire du Mali. Politicien, archéologue, historien, reggae man, il fut président du Mali en 1991 qui était l’exemple diplomatique de la France, c’est dire son intérêt. Et enfin, dans les années 2000, virent sa consécration internationale. Sa force réside dans son entourage, car Alpha Oumar Konaré sut aussi préserver ses arrières en sachant ménager ses ennemies par des collaborations où il tenait les cordons de la bourse. Avec tous ces pouvoirs qui lui furent attriués, Alpha Oumar Konaré laissa des traces indélébiles sur les traditions maliennes qui ne s’en relèveront pas…
jeudi 13 juin 2013
Parmi les blessés du MNLA à Anefis figurent des soldats français
Bonjour à toutes et à tous,
selon mon camarade l'Honorable Dr Oumar Mariko, parmi les blessés du
MNLA à Anefis figurent des soldats français qui combattaient du côté des
apatrides du MNLA.
Ecoutez plutôt le fichier sonore.
Cordialement.
Ps: le fichier est lourd, donc difficilement téléchargeable.
Ce message d’Aboubacrine Assadek Ag publié sur sa page à suscité de nombreuses réactions.
Voici mes commentaires à chaud :
Il est certainement possible et même probable que des encadrants
français structurent le MNLA. Il ne s'agit pas de forces armées
officielles mais de forces spéciales secrètes dans la tradition des
"gorilles" d'une structure dont "Paris" démentira bien évidemment
l'existence. Il s'agit d'un secret de polichinelle, car il est évident
que le MLNA n'existerait pas sans la volonté des services secrets. Mais
attention, il est de rigueur dans ce cas là que la main gauche ignore
ce que fait la main droite...
Peut-on en avoir la preuve ?
je n'ai pas encore écouté le témoignage sonore, mais il est peu probable qu'il suffise comme preuve valide.
La seule solution serait qu'un de ces blessé accepte de témoigner ce
qui est improbable, car son risque d'être exécuté est bien trop grand.
En fait, il faudrait des témoins vivants, pouvant prouver leur qualité
d'officier français (et non pas de mercenaire travaillant pour une
officine privée) et acceptant de témoigner devant la caméra d'une grande
chaine de télévision.... !!!
Mais les arguments et les indices sont nombreux.
Qui peut douter que non seulement le MNLA est une création de la
France, mais aussi les autres groupes via notre ami le Quatar ? Un
simple rappel : en janvier 2012 on a vu surgir du désert non pas une
mais 3 armées (seule AQMI était préexistante) : MNLA, Ansar Dine et
Mujao. Même en admettant que chacune de ces armées a bénéficié de
l'apport des légionnaires touaregs libyens, cela n'explique pas leur
parfaite coordination et le fait que ces 3 armées ont pu livrer une
véritable blitzkrieg à l'armée malienne en utilisant du matériel de
télécom moderne et certainement un commandement opérationnel commun.
Cela est tout simplement impensable sans l'implication de militaires
professionnels de haut niveau (et pas simplement des barbouzes).
Répétons-le : 3 armées ne peuvent pas surgir du désert !!!...
Certes
le crime était Sarkoziste, et François Hollande est venu en parti payer
cette dette, mais comme tout ce qu'il fait, c'est à dire à moitié, car
non seulement il est prisonnier d'un secret d'Etat, mais en plus il est
sous influence d'un état major et d'une diplomatie qui n'ont pas changé
depuis Sarko...
Si Samir AMIN avait cru reconnaitre un changement
d’orientation de la France, c'est-à-dire une sortie de l’atlantisme, qui
signifierait que de facto la politique française rejoindrait ceux qui
réclament un monde « multi-polaire », c’est-à-dire les BRICS…
Mais
la façon dont François Hollande a le cul entre 2 chaises, avec par
exemple la continuation de la politique syrienne, montre que dans cette
affaire il est seulement question de sauver ce qui peut l’être du pré
carré africain et nullement d’une sortie de l’Atlantisme.
En réponse à Jean-marc Pellet qui dit :
- les "forces spéciales française" ont toujours précédé les militaires "français". Ce sont eux qui "ouvrent" la route....
- Les "FS" ont carte blanche au Mali, sans eux les "rebelles" seraient à Bamako. lire l'article suivant : http://www.lesechos.fr/19/01/ 2013/lesechos.fr/ 0202511878731_mali---comment-fo nctionnent-les-forces-speciale s-francaises.htm
L'article des échos participe du même "bashing" de l'armée malienne
qui est la caractéristique de la doxa francafricaine. Cette armée a été
bassement vilipendée y compris par les "officiels" français et on
voudrait qu'elle dise merci. En y regardant de plus près on s'aperçoit
que c'est quand même elle qui compte le plus grand nombre de mort...
Il n'est pas ici question des forces spéciales dont parle l'article des
échos, celles ci sont officielles, mais des obscurs qui structurent le
MNLA et qui si ils venaient à mourir ne seraient pas décomptés, car
Paris refusera de reconnaitre leur existence.
Dans une autre
guerre on les a appelé les "affreux" ou les "Katanguais", mais Mr
Pellet me dira surement qu'il s'agit d'une légende.
Si tous les
commentateurs « autorisés », y compris les généraux de l’opération
Serval s’autorisent à dénigrer l’armée malienne alors que la France et
la CEDEAO ont tout fait pour l’empêcher de se remettre sur rail par le
blocus, ce n’est que le deuxième refrain de la même chanson ; l’armée
malienne est incapable.
Le premier refrain nous a été seriné
jusqu'à l'odieux par tous les médias français et repris d'ailleurs
partout en Europe : l'armée malienne aurait été battue à cause du coup
d'état.
C’est bien la même chanson.
Or il est évident pour
tout observateur indépendant que le 22 mars 2012 l'armée malienne est
en déroute et est largement vaincue par ces 3 armées surgies du désert
et qui travaillent curieusement de concert. C'est justement parce que
cette défaite est le fait de "forces obscures" que les petits soldats se
mutinent à Kati et font sauter ATT. La légende d'une défaite due au
coup d'état a été forgée par la francafrique et bientot imposée par tous
les médias.
L'autre point important est l'étouffement dans
l'oeuf de cette "Commune" bamakoise et le bashing dont ont été victimes
l'armée malienne, le CNDRE, le capitaine Sanogo, les soutiens civils de
Gauche, c'est-à-dire le MP22 et le SADI d'Oumar Mariko. Contre ce
dernier des appels au meurtre ont été scandaleusement orchestrés tant
dans la presse que sur Internet (fausse identité, robots envoyant des
messages par milliers etc).
selon mon camarade l'Honorable Dr Oumar Mariko, parmi les blessés du MNLA à Anefis figurent des soldats français qui combattaient du côté des apatrides du MNLA.
Ecoutez plutôt le fichier sonore.
Cordialement.
Ps: le fichier est lourd, donc difficilement téléchargeable.
Ce message d’Aboubacrine Assadek Ag publié sur sa page à suscité de nombreuses réactions.
Voici mes commentaires à chaud :
Il est certainement possible et même probable que des encadrants français structurent le MNLA. Il ne s'agit pas de forces armées officielles mais de forces spéciales secrètes dans la tradition des "gorilles" d'une structure dont "Paris" démentira bien évidemment l'existence. Il s'agit d'un secret de polichinelle, car il est évident que le MLNA n'existerait pas sans la volonté des services secrets. Mais attention, il est de rigueur dans ce cas là que la main gauche ignore ce que fait la main droite...
Peut-on en avoir la preuve ?
je n'ai pas encore écouté le témoignage sonore, mais il est peu probable qu'il suffise comme preuve valide.
La seule solution serait qu'un de ces blessé accepte de témoigner ce qui est improbable, car son risque d'être exécuté est bien trop grand.
En fait, il faudrait des témoins vivants, pouvant prouver leur qualité d'officier français (et non pas de mercenaire travaillant pour une officine privée) et acceptant de témoigner devant la caméra d'une grande chaine de télévision.... !!!
Mais les arguments et les indices sont nombreux.
Qui peut douter que non seulement le MNLA est une création de la France, mais aussi les autres groupes via notre ami le Quatar ? Un simple rappel : en janvier 2012 on a vu surgir du désert non pas une mais 3 armées (seule AQMI était préexistante) : MNLA, Ansar Dine et Mujao. Même en admettant que chacune de ces armées a bénéficié de l'apport des légionnaires touaregs libyens, cela n'explique pas leur parfaite coordination et le fait que ces 3 armées ont pu livrer une véritable blitzkrieg à l'armée malienne en utilisant du matériel de télécom moderne et certainement un commandement opérationnel commun. Cela est tout simplement impensable sans l'implication de militaires professionnels de haut niveau (et pas simplement des barbouzes). Répétons-le : 3 armées ne peuvent pas surgir du désert !!!...
Certes le crime était Sarkoziste, et François Hollande est venu en parti payer cette dette, mais comme tout ce qu'il fait, c'est à dire à moitié, car non seulement il est prisonnier d'un secret d'Etat, mais en plus il est sous influence d'un état major et d'une diplomatie qui n'ont pas changé depuis Sarko...
Si Samir AMIN avait cru reconnaitre un changement d’orientation de la France, c'est-à-dire une sortie de l’atlantisme, qui signifierait que de facto la politique française rejoindrait ceux qui réclament un monde « multi-polaire », c’est-à-dire les BRICS…
Mais la façon dont François Hollande a le cul entre 2 chaises, avec par exemple la continuation de la politique syrienne, montre que dans cette affaire il est seulement question de sauver ce qui peut l’être du pré carré africain et nullement d’une sortie de l’Atlantisme.
En réponse à Jean-marc Pellet qui dit :
- les "forces spéciales française" ont toujours précédé les militaires "français". Ce sont eux qui "ouvrent" la route....
- Les "FS" ont carte blanche au Mali, sans eux les "rebelles" seraient à Bamako. lire l'article suivant : http://www.lesechos.fr/19/01/
L'article des échos participe du même "bashing" de l'armée malienne qui est la caractéristique de la doxa francafricaine. Cette armée a été bassement vilipendée y compris par les "officiels" français et on voudrait qu'elle dise merci. En y regardant de plus près on s'aperçoit que c'est quand même elle qui compte le plus grand nombre de mort...
Il n'est pas ici question des forces spéciales dont parle l'article des échos, celles ci sont officielles, mais des obscurs qui structurent le MNLA et qui si ils venaient à mourir ne seraient pas décomptés, car Paris refusera de reconnaitre leur existence.
Dans une autre guerre on les a appelé les "affreux" ou les "Katanguais", mais Mr Pellet me dira surement qu'il s'agit d'une légende.
Si tous les commentateurs « autorisés », y compris les généraux de l’opération Serval s’autorisent à dénigrer l’armée malienne alors que la France et la CEDEAO ont tout fait pour l’empêcher de se remettre sur rail par le blocus, ce n’est que le deuxième refrain de la même chanson ; l’armée malienne est incapable.
Le premier refrain nous a été seriné jusqu'à l'odieux par tous les médias français et repris d'ailleurs partout en Europe : l'armée malienne aurait été battue à cause du coup d'état.
C’est bien la même chanson.
Or il est évident pour tout observateur indépendant que le 22 mars 2012 l'armée malienne est en déroute et est largement vaincue par ces 3 armées surgies du désert et qui travaillent curieusement de concert. C'est justement parce que cette défaite est le fait de "forces obscures" que les petits soldats se mutinent à Kati et font sauter ATT. La légende d'une défaite due au coup d'état a été forgée par la francafrique et bientot imposée par tous les médias.
L'autre point important est l'étouffement dans l'oeuf de cette "Commune" bamakoise et le bashing dont ont été victimes l'armée malienne, le CNDRE, le capitaine Sanogo, les soutiens civils de Gauche, c'est-à-dire le MP22 et le SADI d'Oumar Mariko. Contre ce dernier des appels au meurtre ont été scandaleusement orchestrés tant dans la presse que sur Internet (fausse identité, robots envoyant des messages par milliers etc).
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